Les parts de SCPI s’apparentent à des actions ou des titres de propriété semblables à ceux qu’on achète en bourse. Les dividendes sont néanmoins générés par les loyers issus de l’exploitation de parcs immobiliers composés de plusieurs biens en location. Les épargnants reçoivent ainsi des rémunérations tous les trois mois, proportionnels à leur apport initial.
Pour accéder à ce type de placement, il est nécessaire de trouver un fournisseur. Le marché regorge de sociétés de gestion qui proposent des offres en tout genre. La valeur d’une seule part peut varier, mais même pour quelques centaines d’euros, il est possible de devenir associé. Le prix du billet d’entrée permet donc d’investir avec des moyens réduits. Pour faciliter le choix des intéressés, il est conseillé d’aller sur comparateur-scpi.info.
Les contrats d’assurance-vie ou le Livret A fournissent actuellement des rendements situés entre 0,5 et 2 % par an. Ce sont des chiffres qui incitent souvent les épargnants à tester d’autres méthodes. Du côté des SCPI, même si le capital n’est pas garanti, il est possible de gagner, en moyenne, 5 % par an. Dans certains cas, cela peut aller jusqu’à 7 %. Les performances peuvent changer chaque année, mais ce taux semble rester stable. De plus, la crise sanitaire due au coronavirus n’a pas chamboulé beaucoup de choses. En effet, les détenteurs de parts n’ont pas tellement perdu d’argent. Les loyers ont continué à tomber, même si quelques retards minimes ont été observés.
Les SCPI commencent ainsi à devenir l’un des produits d’épargne préférés des Français, si ce n’est pas déjà le cas. C’est une opportunité de gagner des compléments de revenus sans contraintes de gestion à prévoir. Les bonnes raisons de se lancer ne manquent alors pas. Il est juste nécessaire de bien choisir la société de gestion où acquérir des parts.